Lourde défaite française face à Charles III, connétable de Bourbon. Le roi de France est prisonnier, la régence du royaume est confiée à sa mère, Louise de Savoie.
En échange de sa libération, le roi renonce à ses prétentions sur l'Italie, la Flandre et l'Artois. Il s'engage également à céder la Bourgogne et la Touraine à Charles Quint et à épouser sa sœur. Il est libéré en échange de ses deux fils.
Aussi appelé "paix des Dames", négocié par Marguerite d'Autriche, tante de Charles Quint et Louise de Savoie, mère de François Ier. Celui-ci renonce à plusieurs territoires et verse une rançon à Charles Quint en échange de la libération de ses deux fils.
À Paris, Orléans ou Amboise, des réformateurs opposent un écrit très violent contre la messe catholique. S'ensuit un certain nombre d'édits royaux visant à réprimer les idées réformatrices.
Par ce traité, le sultan Soliman le Magnifique offre aux navires battant pavillon français le privilège de commercer avec tous les ports de l'empire ottoman, ce qui va assurer la prospérité de Marseille.
Le roi exige que les actes administratifs, politiques et judiciaires soient rédigés en français et non plus en latin. Dans le domaine juridique, les droits des tribunaux ecclésiastiques sont restreints.
Le roi décède d'une fistule tuberculeuse. Le peuple était las de la guerre et sa mort fut considérée comme une véritable délivrance. C'est son fils Henri II qui lui succède.