Auteur inconnu utilisant un dialecte du centre de la France.
Particularités
Cette chanson de geste nous conte l'histoire d'un jeune seigneur français rebelle qui s'allie avec un chef normand, abandonne le christianisme et combat le roi de France.
Adaptation en dialecte anglo-normand et en vers des légendes bretonnes, avec une conclusion plutôt pessimiste où la douleur et l'épreuve succèdent à la joie et au bonheur initiaux.
Un jeune homme, élevé par sa mère loin de la civilisation, dans l'ignorance complète du monde et de la chevalerie meurtrière, rencontre un jour un groupe de chevaliers à la brillante armure. Ce sera le début d'une quête.
Deux adolescents sont épris : un fils de comte et une jeune fille, enlevée en bas âge par des Sarrasins, mais en réalité fille du roi de Carthage. Après beaucoup de traverses et de longues séparations, ils finissent par se réunir et s'épouser...
Publication
Fin du XIIe siècle ou première moitié du XIIIe siècle
La première partie conte la cour d’un homme à son aimée et ses tentatives de pénétrer dans un jardin clôturé symbolisant la belle. La seconde présente une discussion plus philosophique de l’amour ainsi que des digressions sur des sujets variés.
Pièce de théâtre alternant les dialogues avec les chants et les danses, elle se termine par tout un divertissement rustique : repas sur l'herbe, jeux, figures de ballet et farandole finale.
Souvent considérée comme anonyme mais parfois attribuée à Guillaume Alexis, voire à François Villon.
Particularités
Considérée comme la première pièce comique de la littérature française, c'est une satire féroce et jubilatoire, une joyeuse école de friponnerie universelle, sans autre morale que le plaisir de voir tromper un trompeur.
Œuvre riche de plus d'une vingtaine de poèmes relativement autonomes, fleuron de la littérature médiévale. La première ballade du triptyque au centre de l’œuvre a été mise en musique par Georges Brassens (La Ballade des dames du temps jadis).