Texte confirmant la prééminence du Japon en Asie de l'Est, et forçant la Russie à abandonner ses visées expansionnistes dans la région. Il fut mal accueilli par l'opinion publique japonaise car l’indemnité de guerre demandée ne fut pas acceptée.
Accords secrets entre la France et le Royaume-Uni prévoyant le partage du Proche-Orient à la fin de la guerre en plusieurs zones d'influence au profit de ces puissances, ce qui revenait à dépecer l'Empire ottoman.
Les bolchéviques russes signent la paix avec les Allemands et leurs alliés. Ils se retirent de la Grande Guerre, laissant choir la France et l'Angleterre qui s'étaient engagées aux côtés du tsar.
Élaboré au cours de la conférence de Paris, ce texte annonce la création de la Société des Nations et détermine les sanctions contre l'Allemagne et ses alliés (perte de territoires, réparations économiques et restrictions de la capacité militaire).
Texte signé par l'Allemagne, la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Pologne et la Tchécoslovaquie. Il vise à assurer la sécurité collective en Europe et les frontières de l'Allemagne.
Ensemble de textes dont le plus connu est le traité signé par le cardinal Gasparri et Benito Mussolini. Le Saint-Siège reconnaît le royaume d'Italie, avec Rome pour capitale, et l'Italie reconnaît la souveraineté du Saint-Siège sur la Cité du Vatican.
Traité signé par soixante-trois pays qui condamnent le recours à la guerre pour le règlement des différends internationaux. La portée de ce texte était limitée car aucune sanction n’était prévue, seule une réprobation internationale étant envisagée.
Texte signé par Hitler, Daladier, Chamberlain et Mussolini. Il avait pour but de régler la crise des Sudètes, mais il permet à Hitler d'annexer les régions tchécoslovaques peuplées d'Allemands.
Accord germano-italien signé à Berlin par les ministres des Affaires étrangères allemand et italien, Joachim von Ribbentrop et Galeazzo Ciano. Il s’agit d’un pacte militaire offensif, qui scelle de manière officielle l'union des forces de l'Axe.
Outre un engagement de neutralité en cas de conflit, cet accord comportait un protocole secret, qui répartissait entre l'Allemagne et l'URSS un certain nombre de territoires à annexer (Finlande, Pologne, pays baltes et Bessarabie).
Mise en place d'une organisation monétaire mondiale et aide au développement économique des pays touchés par la guerre. Naissance de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et du Fonds monétaire international (FMI).