[TITRE] mon Moulin d'la Plac' Blanche
Mon tabac et mon bistrot du coin?
Tous les jours étaient pour moi Dimanche
Où sont-ils les amis, les copains?
Où sont-ils tous mes vieux bals musettes ?
Les javas au son d'l'accordéon ?
Le marchand de sable est passé
Les enfants vont faire dodo
Et tu vas pouvoir commencer
Avec ta hotte sur le dos
Au son des cloches des églises
Ta distribution de surprises
Oh je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis
En ce temps-là la vie était plus belle
Et le soleil plus brillant qu'aujourd'hui
[TITRE] se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi
Pour le bonheur de nos deux cœurs, arrête le temps et les heures
Je t'en supplie à l'infini, [TITRE]
Ne me demande pas d'où me vient ma tristesse
En découvrant l'amour, je frôle la détresse
Ce soir je serai [TITRE] , danser
Pour mieux évincer toutes celles que tu as aimées, aimées
Ce soir je serai la plus tendre quand tu me diras, diras
Tous les mots que je veux entendre murmurer par toi, par toi.
Non, je ne pourrai jamais vivre sans toi
Je ne pourrai pas, ne pars pas, j'en mourrai
Un instant sans toi et je n'existe pas
Mais mon amour, ne me quitte pas.
Non, ce n'était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu'on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'appelait [TITRE]
On se marie tôt à vingt ans, et l'on n'attend pas des années
Pour faire trois ou quatre enfants, qui vous occupent vos journées
Faut-il pleurer, faut-il en rire ?
Je n'ai pas le cœur à le dire
[TITRE]
Au clair de la lune
Deux cœurs capricieux
Font à qui mieux mieux
Maintes infortunes
On en invite une
Elles viennent à deux
On invite les deux
Il n'en vient aucune
[TITRE]
Comme nos voix, dabadabada
Chantent tout bas, dabadabada
Nos cœurs y voient
Comme une chance, comme un espoir
C'est une longue histoire
[TITRE]
Ont forgé la trame du hasard