On n'est pas d'un pays, mais on est d'une ville
Où la rue artérielle limite le décor
Les cheminées d'usine hululent à la mort
La lampe du gardien rigole de mon style
Particularités
Dans cette chanson de 1975, Bernard Lavilliers évoque sa ville natale, où il a travaillé, comme son père, à la manufacture d'armes.
Que veux-tu que je sois dans cette société-là ?
Un ange ou un cobra, un tueur ou un rat ?
Où veux-tu que je vive dans la radioactive ?
Comment veux-tu que je meure, d'un bel accord mineur ?
Particularités
Cette chanson au son très rock, que lui a inspiré la 42e Rue de New York, est en 1980 le premier succès de Bernard Lavilliers.
I and I love the island in the sun
I and I know when and where I go
But it is so hard to feed my kids
But it is so hard to + TITRE
Particularités
Le reggae, évoqué à plusieurs reprises dans les paroles, a inspiré Bernard Lavilliers pour cette chanson de l'album "O Gringo" (1980) qui mêle français et anglais.
Où es-tu, quand tu es dans mes bras ?
Que fais-tu, est-ce que tu penses à moi ?
D'où viens-tu, un jour tu partiras
Où es-tu, quand tu es dans mes bras ?
Particularités
En 2014, Bernard Lavilliers a repris avec Catherine Ringer ce duo enregistré à l'origine avec Nicoletta en 1983.
On vous laisse nos frontières
Se refermer
Homme à la mer, émigré
Cap sur l'Angleterre
Depuis la Guinée
T'as le temps d'apprendre à nager
Particularités
Ce duo de 2016 est interprété avec Cyril Mokaiesh, l'auteur de cette chanson qui évoque l'attitude de l'Europe vis-à-vis des migrants et dont le clip a été réalisé par Stéphane Brizé.
Je sens ma ville comme un amant, trompé par un riche imbécile
Je sens ma ville comme un aimant, ça me rend fou presque débile
Particularités
Cette chanson de l'album "5 minutes au paradis" (2017), créée avec le groupe Feu! Chatterton, évoque une ville industrielle en déclin, présentant des ressemblances avec la ville natale de Bernard Lavilliers.