Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers
Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés
Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants
Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent
Particularité(s)
Dans cette chanson, Jean Ferrat rend hommage à tous les déportés (son père est mort à Auschwitz). Le nom vient d'une directive nazie.
J'ai tout appris de toi sur les choses humaines
Et j'ai vu désormais le monde à ta façon
J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines
Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines
Particularité(s)
Cette chanson est composée d'extraits du poème de Louis Aragon "Prose du bonheur et d'Elsa".