Serre-moi fort contre ton corps
Il faut qu’à l’heure des folies
Le grand amour raye le jour
Et nous fasse oublier la vie
Particularités
Ce slow de 1961, écrit par Charles Aznavour et Georges Garvarentz, modifie quelques peu le regard que portent sur lui les critiques, qui désormais soulignent également son talent d'interprète.
En revenant dans ce pays
Là où le soleil et le vent
Là où mes amis mes parents
Avaient gardé mon cœur d'enfant
Particularités
Ecrite par Jean-Jacques Debout, il s'agit d'une des quatre chansons du film "D'où viens-tu Johnny ?" dont il est la vedette. La chanson illustre le retour de Johnny Rivière sur les lieux de son enfance.
Si les mots suffisaient pour tout réaliser
Tout en restant assis avec les bras croisés
Je sais que dans une cage je serais enfermé
Mais c'est une autre histoire que de m'y faire entrer
Particularités
Ce titre est la riposte du chanteur à la chanson d'Antoine "Les Élucubrations d'Antoine" où au détour d'un couplet, ce dernier propose d'enfermer "Johnny Hallyday en cage à Médrano".
Il n'y a plus d'espoir
Oui gris c'est gris
Et c'est fini, oh, oh, oh, oh
Particularités
Cette adaptation française du titre "Black Is Black" du groupe espagnol Los Bravos, semble, lors de sa sortie, décrire l'état d'esprit du chanteur en proie à de nombreux problèmes personnels et professionnels.
Quand ton premier soupir
Se finit dans un cri
Quand c'est moi qui dis non
Quand c'est toi qui dis oui
Particularités
Cette chanson demeure l'une des chansons favorites du public. C'est à partir de ce titre que des imitateurs ont attribué au chanteur un tic de langage qui consiste à faire commencer ses phrases par un "Ah que…".
Elle vient de là elle vient du blues
Les mots ne sont jamais les mêmes
Pour exprimer ce qu'est le blues
Particularités
Cette chanson évoque les turbulences que son couple avec Sylvie Vartan traverse et les sentiments qu'il éprouve encore pour elle. On peut y entendre une guitare à résonateur (Dobro) utilisée sur une idée de Johnny.
Dix ans de chaîne sans voir le jour c'était ma peine forçat de l'amour
Et j'ai refusé, mourir d'amour enchaîné
Particularités
Cette chanson dont le titre en français est un prénom féminin, est l’adaptation d’une chanson du chanteur anglais Tony Cole intitulée "The king is dead". Johnny y associe une gestuelle particulière avec les poings levés et en croix.