Hello, darkness my old friend
I've come to talk with you again
Because a vision softly creeping
Left its seeds while I was sleeping
Particularité(s)
Plus grand succès du duo. Comme Mrs Robinson, le titre figure sur la bande originale du film Le Lauréat de Mike Nichols et s'est classé en tête des ventes aux USA.
Album d'origine
Wednesday Morning, 3 A.M. (1re version - 1964)
Sounds of Silence (2e version - 1966)
I'm sittin in the railway station
Got a ticket for my destination
On a tour of one night stands
My suitcase and guitar in hand
Particularité(s)
Titre composé par Paul Simon à Widnes Rail Station (Londres) alors qu'il attendait le train qui l'emmènerait vers sa bien-aimée de l'époque, Kathy Chitty.
Tell her to weave it in a sycamore wood lane
Parsley, sage, rosemary and thyme
And gather it all with a basket of flowers
And then she'll be a true love of mine
Particularité(s)
Chanson traditionnelle anglaise datant du Moyen Âge. Le duo lui a redonné ses lettres de noblesse en en signant une adaptation soignée.
Where have you gone, Joe DiMaggio,
Our nation turns its lonely eyes to you.
What's that you say, Mrs. Robinson.
Jolting Joe has left and gone away, hey hey hey
Particularité(s)
Comme The Sound of Silence, la chanson figure sur la bande originale du film Le Lauréat de Mike Nichols et atteint la première place des ventes aux USA.
I will comfort you
I'll take your part, oh
When darkness comes
And pain is all around
Particularité(s)
Grammy Award de la meilleure chanson de l'année en 1971, ce titre inclassable mêle somptueusement la voix d'Art Garfunkel et la mélodie au piano de Paul Simon.
I'd rather be a sparrow than a snail
Yes I would, if I could, I surely would
I'd rather be a hammer than a nail
Yes I would, if I only could, I surely would
Particularité(s)
Reprise d'une complainte populaire péruvienne pour laquelle Simon écrit un nouveau texte en anglais. Cette adaptation a valu au duo un procès réglé à l'amiable avec les créateurs de la chanson originale.
I am just a poor boy though my story's seldom told
I've squandered my resistance
For a pocketful of mumbles
Such are promises
Particularité(s)
Chanson narrant le quotidien difficile d'un jeune homme dans le New York des années 60. Le refrain se limite à un « lie-la-lie » qui lui donne toute sa force. Reprise par Bob Dylan en 1970.