Longtemps, on a cru que ce roi était mort de l’épidémie de peste (ou de typhus) qui ravagea son armée devant Tunis. Des analyses récentes sur sa mâchoire ont révélé qu'il s'agissait d'une maladie due à la malnutrition.
Le jeune roi, fils ainé de Philippe le Bel, est subitement pris d'un malaise qui lui est fatal. Il venait de disputer une partie de jeu de paume acharnée et s'était désaltéré d'une coupe de vin glacé.
Ce roi, qui mit fin à la guerre de Cent Ans par le traité de Picquigny, vécut ses dernières années de règne dans la peur d'être empoisonné. Il avait subi plusieurs attaques d'apoplexie et la dernière lui fut fatale.
Le roi s'est beaucoup épaissi et souffre d'une fistule mal placée qui lui interdit de monter à cheval. Le mal empire et la fièvre ne le quitte pas. La maladie le terrasse après des années de souffrances.
Ce jeune roi, premier fils de Catherine de Médicis, est un enfant chétif qui souffre d'une suppuration chronique de l'oreille gauche. Son cas s'aggrave et il en meurt à l'age de 16 ans après un règne d'un peu plus d'un an.
Second fils de Catherine de Médicis, ce jeune roi de santé fragile tant sur le plan physique que psychologique, meurt à 23 ans, miné par une une fièvre perpétuelle et des difficultés à respirer qui lui font cracher du sang.
La mort de ce roi met fin à six semaines de violentes douleurs au ventre. Auparavant, il a limité les pouvoirs de la future régente, Anne d'Autriche, qui n'en tiendra pas compte.
Le vieux souverain, très diminué physiquement, ressent de vives douleurs à la jambe gauche. Des taches noires apparaissent et l'on envisage un moment l'amputation.
Alors que la cour se déchire entre les partisans de la comtesse Du Barry et ceux de la Dauphine Marie-Antoinette, une maladie très contagieuse, touche le roi, provoquant la fuite des courtisans. Il en meurt en deux semaines.
Ce roi souffre de diabète et d’une goutte qui empire avec les années et rend tout déplacement difficile à la fin de son règne. Il meurt dans d'atroces souffrances, les jambes et le bas du dos rongés par la maladie.