Fondé en 1859, classé comme "républicain radical" sous le Second Empire. Sous la IIIe République, il soutient Édouard Herriot notamment pour la démolition de l'Hôtel-Dieu.
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Diffusé dans le Rhône, l'Ain, l'Isère, la Loire, la Haute-Loire et le Jura. 159 000 exemplaires en 2019.
Fondé en 1870 à l'initiative d'ouvriers de l'imprimerie Sirven. Jean Jaurès et Georges Clemenceau y ont été journalistes. Il est historiquement lié à la laïcité et au radicalisme.
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Diffusé dans l'Ariège, Aude, Aveyron, Haute-Garonne, Gers, Lot, Hautes-Pyrénées, Tarn, Tarn-et-Garonne, Lot-et-Garonne. 127 000 exemplaires en 2019.
Fondé en 1905 par Léon Betoulle et Pierre Bertrand. Il a été le journal officiel de la section départementale de l'Internationale ouvrière (SFIO). Remplacé par "L'Appel du Centre" sous le régime de Vichy en 1941, il reparaît en 1944.
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Diffusé en Haute-Vienne. 29 000 exemplaires en 2019.
Créé en 1944, il est alors l’"organe du comité régional du mouvement de libération nationale" comme l’indique son sous-titre. Il appartient depuis 2015 au Groupe La Dépêche.
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Diffusé dans la moitié Est de la région Occitanie. 91 000 exemplaires en 2019.
Créé en 1945 par sept membres de la Résistance. En une du 1er numéro : "Le libre journal des hommes libres". Il prend la suite des Allobroges sorti en 1944 en remplacement du Petit Dauphinois jugé trop proche de l'occupant allemand.
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Diffusé dans l'Isère, la Savoie, la Haute-Savoie, la Drôme, l'Ardèche, les Hautes-Alpes, l'Ain, le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence. 185 000 exemplaires en 2019.
Créé en 1945 par Michel Bavastro, ancien journaliste sportif avant la guerre, qui en fut le patron pendant 47 ans. Il s'est trouvé en adéquation avec le pouvoir de la famille Médecin, parvenant ainsi à éviter toute implantation concurrente.
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Diffusé dans les Alpes-Maritimes. 67 000 exemplaires en 2019