Considéré comme le premier concile œcuménique par les Églises chrétiennes, il condamne la gnose et l'arianisme. Il fixe également la date de la fête de Pâques.
Convoqué par l'empereur Théodose II, ce concile condamne le nestorianisme et déclare Marie "mère de Dieu", reconnaissant l'unité des caractères humain et divin du Christ.
Convoqué par l'empereur d'Occident Marcien, ce concile condamne comme hérétique le monophysisme, doctrine d'Eutychès affirmant la nature uniquement divine du Christ.
Ce concile, mené par le pape Adrien Ier, voulait conclure la crise iconoclaste. Il confirme la vénération des images et reliques, l'honneur étant rendu à la personne représentée.
Convoqué par Innocent III, ce concile condamne le catharisme et organise sa répression, préfigurant l'Inquisition. Il introduit dans le dogme le concept de la transsubstantiation.
Provoqué par Philippe le Bel, ce concile aboutit à la suppression de l'ordre des Templiers. Les réformes libérales de Guillaume Durand (mariage des prêtres...) y sont rejetées.
Convoqué par l'empereur Sigismond de Luxembourg, ce concile met un terme au Grand Schisme d'Occident. Il condamne pour hérésie John Wyclif et Jean Hus, brûlé vif.
Réaction catholique au protestantisme, ce concile confirme la doctrine du péché originel, les sept sacrements, le culte des saints et reliques. Il crée aussi les séminaires diocésains.
Convoqué par le pape Pie IX, ce concile a principalement défini l'infaillibilité pontificale. Il est suspendu lorsque les troupes italiennes envahissent Rome et ne reprendra pas.
Seul concile du XXe siècle, il symbolise l'ouverture de l’Église au monde moderne. Il est connu pour ses visées œcuméniques et son ouverture liturgique aux langues des pays.