Dédié au peintre surréaliste André Masson, le roman est précédé d'une Préface à une mythologie moderne et comporte deux parties consacrées à des lieux du Paris de l'époque.
Les destins de trois femmes, Diane l’aristocrate, Catherine la féministe et Clara Zetkin, militante socialiste allemande ayant réellement existé, s’entrecroisent jusqu’à Bâle, où se tient en 1912 le Congrès des partis socialistes pour la paix.
Le roman se compose de trois parties : Sérianne, qui évoque une petite ville imaginaire du sud de la France, Paris et Le Passage Club, un cercle de jeu de la capitale. Récompensé par le prix Renaudot le 9 décembre 1936.
Le roman couvre un quart de siècle de l’histoire de France, de l’Exposition universelle de 1889 jusqu’au début de la guerre de 1914, et relate la vie d’un homme apparemment ordinaire, Pierre Mercadier.
Roman ambigu et très riche donnant à voir les dérives morales et les diversions esthétiques d’un jeune bourgeois incarnant le fameux mal du siècle qu'avait connu l'écrivain pendant sa jeunesse.
Récit de la semaine du 19 au 26 mars 1815 : alors que Napoléon, évadé de l'île d'Elbe, a débarqué au golfe Juan et remonte vers Paris pour reprendre le pouvoir, le roi Louis XVIII et l'ensemble de sa Maison décident de fuir la capitale.
L’intrigue générale tourne autour du personnage d’Alfred, amoureux de Fougère, une célèbre cantatrice, et jaloux d’Anthoine qui est en quelque sorte son double : lorsque Fougère chante, Alfred devient Anthoine.
Afin de comprendre l'échec de son amour avec sa femme, prénommée Blanche, un linguiste à la retraite construit un personnage de jeune fille, Marie-Noire, qui lui servira d'hypothèse tout au long de ses recherches.