Sorte de bourse autrefois portée à la ceinture et contenant l'argent destiné à des dons aux mendiants, aux nécessiteux. Aujourd'hui, les premières communiantes utilisent encore parfois cet accessoire, pour emporter l'argent destiné à la quête.
Sac des vagabonds, ouvert par le milieu et fermé aux deux extrémités, qui forme donc deux poches : il se porte sur l'épaule, une poche tombant sur la poitrine, et l'autre dans le dos.
Sac essentiellement destiné à l'argent, mais qui peut également contenir quelques menus objets : son nom est aujourd'hui supplanté par celui de "sac à main", dont l'usage est le même.
Sac des écoliers, dans lequel ils transportent livres, cahiers, matériel scolaire. Autrefois porté à la main, il est aujourd'hui muni le plus souvent de bretelles et porté comme un sac à dos.
Grande bourse qui se portait autrefois suspendue à la ceinture. Son nom, en rapport avec l'italien "scarso" (avare), la désigne comme "la petite avare", d'où l'on ne sortait pas facilement son argent.
C'est le sac des chasseurs, utilisé pour transporter cartouches et gibier. Le mot s'applique aussi à la vaste poche confectionnée dans le dos des vestes de chasse.
Petit sac à main, dont l'usage s'est instauré à l'époque des Merveilleuses, leurs robes transparentes ne leur permettant pas d'avoir des poches. Au début du XIXe siècle, on a appelé ce sac "ridicule", par déformation ironique du mot.
