Il provient d'une ancienne famille plébéienne qui s'est distinguée par des services militaires remarquables. Il est élevé à la manière de ses ancêtres latins et formé à l'agriculture, à laquelle il se consacre quand il ne fait pas son service militaire.
Né à Carthage, réduit en esclavage encore enfant. Son talent impressionne son maître, il reçoit une éducation d'homme libre et est rapidement affranchi. Il fréquente dès lors la haute société et, pour les cercles érudits, écrit des comédies.
Avocat et homme politique, il est proscrit, puis assassiné au moment où il quitte sa villa de Gaète ; sa tête et ses mains sont exposées sur les Rostres, au Forum, sur ordre de Marc Antoine.
Victime d'une insolation près de Mégare, il meurt peu après son retour à Brindes. Il avait demandé à ses amis et exécuteurs testamentaires de brûler après sa mort le texte de l’Enéide inachevé, donc imparfait. Auguste s'y oppose et fait publier l'œuvre.
Il est né à Padoue. Fils d’une riche famille noble, il reçoit son éducation en province, et ce sont ses études de rhétorique qui l’amènent à s’installer à Rome, vers l’âge de 24 ans. Il se consacre finalement aux lettres, en particulier à l'Histoire.
En 80, à l’occasion de l’inauguration du théâtre Flavien, il publie le Liber spectaculorum. On lui accorde le privilège du jus trium liberorum, qui lui confère aussitôt une certaine notoriété sans toutefois résoudre ses problèmes d’argent.
Polygraphe animé d'une incroyable curiosité, qui possédait un savoir encyclopédique. Responsable de la correspondance de l'empereur Hadrien en langue latine.