Quatre concertos pour violon évoquent le déroulement des mois de l'année, la douceur et la gaieté des uns, la froidure et la morosité des autres ; la partition porte des annotations : aboiement de chien, coucou, pinson, tourterelle.
Dans cet opéra-ballet, la nature est très présente : la musique fait entendre une violente tempête sur mer, une éruption volcanique, un tremblement de terre, et décrit une magnifique fête des Fleurs.
Cet oratorio composé de quatre cantates sur un texte poétique à la fois descriptif et mystique, évoque les aspects successifs de la nature au cours d'une année, qui deviennent symbole de la vie humaine.
Après "l'éveil de sentiments joyeux à la campagne", c'est la scène au bord du ruisseau (on entend la flûte-rossignol, la caille-hautbois, le coucou-clarinette). Un orage survient (trombones et timbales éclatent), puis la nature retrouve sa sérénité.
Son compositeur déclare : "Je voudrais suggérer comment tout se met à verdir, comment le papillon prend son envol, comment cette saison s'organise peu à peu."
Le compositeur consacre une symphonie au fleuve qui coule à Düsseldorf, fleuve vénéré des Allemands, dont il décrit les paysages naturels et les légendes qui s'y rattachent.
Poème symphonique hommage à la rivière qui traverse Prague. Des tableaux évoquent les bois, les danses paysannes, les nuits magiques de Bohème, les chaos que traverse la rivière avant son arrivée majestueuse à Prague.
Morceau pour chaque mois de l'année. Quelques titres : Chant de l'alouette (Mars), Perce-neige (Avril), Chant du faucheur (Juillet), La moisson (Août), La chasse (Septembre).
"Fantaisie zoologique" amusante et très descriptive où l'on entend des poules et des coqs, des tortues, un éléphant, des kangourous, des oiseaux, des poissons, un âne, un coucou, un cygne.
Œuvre transcrivant le plaisir pris à contempler la montagne, invitant l'auditeur à une randonnée musicale, tour à tour dans la forêt, près d'une cascade, dans les pâturages, vers les cimes et les glaciers, avant l'arrivée de l'orage.
Chaque astre du système solaire présente un caractère particulier : musique guerrière (Mars), suggestion d'un vol rapide (Mercure), accords pesants suggérant la vieillesse (Saturne), impression de grande relaxation (Jupiter).
Ce poème symphonique transporte successivement dans les jardins de la villa Borghèse, aux abords des catacombes, sur les hauteurs du Janicule, et sur la Via Appia où l'on assiste au défilé des légions romaines victorieuses.
Dans ce conte musical, le jeune héros est représenté par les cordes, le grand-père par le basson, le loup par les cors, le canard par le hautbois, le chat par la clarinette, les chasseurs par des cuivres.