Mot dont il n'existe qu'une seule occurrence dans la littérature.
Commentaire
C'est un mot tel que "abracadabrer" (chez Raoul Ponchon), "prédécessrice" (dans la Correspondance de Benjamin Constant), ou "ptyx" (inventé par Mallarmé pour avoir une rime en -x).
Crainte de la nudité éprouvée devant des personnes nues ou même devant le reflet de sa propre nudité dans un miroir.
Commentaire
Cette peur névrotique trouve sa source dans l'éducation religieuse ou morale, ou dans le sentiment de ne pas correspondre aux critères de beauté du moment.
Science qui a pour objet l'interprétation des textes, principalement des textes philosophiques ou bibliques.
Commentaire
Science qui trouve des applications dans la critique littéraire ou historique, dans le droit, la sociologie, en musique, en théologie, dans la psychanalyse.
Signes de la notation musicale en usage durant tout le Moyen Âge, jusqu'à la généralisation de la portée moderne à cinq lignes.
Commentaire
Encore en usage aujourd'hui pour le chant grégorien : notes de forme carrée sur une portée de quatre lignes, sans indication d'intensité rythmique ni de tempo.
Action souvent associée au bâillement, caractérisée par un étirement général des muscles.
Commentaire
Mouvements fréquents au réveil : bras portés au-dessus de la tête, renversement de la tête en arrière, étirement des cuisses et des mollets, creusement du dos, ouverture béante de la bouche.
Phénomène optique qui se manifeste par la sensation de voir une lumière, ou par l'apparition de taches dans le champ visuel, même avec les yeux fermés.
Commentaire
Cette sensation visuelle aberrante peut être le signe d'un décollement de rétine ou intervenir lors de troubles neurologiques.
En médecine, cet adjectif qualifie une respiration qui fait entendre, dans les mouvements d'inspiration et d'expiration, une espèce de son ressemblant au bruit de l'eau qui bout.
Fusion de différents cultes, différentes croyances, différentes doctrines religieuses, et tentative de les concilier en une nouvelle religion qui en serait la synthèse.
Commentaire
Pratique observée dans l'Antiquité, quand les Romains incorporaient à leur panthéon les dieux locaux des pays conquis, ou en Amérique du Sud lorsque les populations converties au christianisme conservaient leurs anciens rites.