Brideron, en compagnie de son oncle Phocion, attend impatiemment le retour de son père, parti pour la guerre de Hongrie. Phocion est alors frappé par la ressemblance entre la situation de son neveu et celle d'un héros de l'Odyssée.
La pièce met en scène une fée qui s'est éprise d'un jeune homme. Il est si beau que la nature s'est retrouvée épuisée lorsqu'il a fallu lui donner une âme. La fée cherche à lui donner de l'esprit.
Une jeune villageoise a été enlevée. Elle est retenue dans le palais du prince car celui-ci l'aime, bien qu'elle soit déjà éprise d'un jeune homme de son village. Flaminia et Trivelin tentent de rompre l'amour entre les deux jeunes gens.
Après un naufrage, les rescapés se retrouvent dans un lieu étrange. Les valets et les maîtres sont obligés d'échanger leurs habits, leur nom et même leur condition.
Des brigands attaquent un carrosse. Tous les occupants meurent, sauf une enfant de deux ans. Elle est recueillie par un curé et ensuite placée en apprentissage à Paris chez une lingère, Mme Dutour.
Silvia craint d’épouser sans le connaître Dorante, le jeune homme que son père, Monsieur Orgon, lui destine. Elle décide alors d’échanger les rôles avec sa femme de chambre, Lisette, en espérant ainsi mieux observer son prétendant.
Le roman relate la fulgurante ascension sociale de Jacob. Issu d'une famille de vignerons de Champagne, il devient en sept jours un bourgeois de Paris, avant de se lancer à la conquête de titres et de biens.
Un jeune noble, ayant perdu sa fortune, tente, avec l'aide de son valet Dubois, de conquérir le cœur de la veuve Araminte. Mais la mère d'Araminte rêve de voir sa fille promise à un comte.
Deux garçons et deux filles sont élevés en marge de la société. À l'adolescence, ils sont mis en présence des autres afin de savoir qui de l'homme ou de la femme se montrera le premier inconstant dans ses choix amoureux.