Si elles dansent c'est parce qu'elles ont vingt ans
Et qu'à vingt ans il faut se fiancer
Description
Chanson dans laquelle Brel se moque du conformisme, ayant notamment pour cible certains de ses compatriotes englués dans leurs traditions et leur normalité.
Ay TITRE, TITRE je t'aimais tant
Entre les tours de Bruges et Gand
Description
Chanson qui, sur un air de valse et un texte alternant français et néerlandais, évoque à la fois un amour perdu et une Belgique à la beauté sombre et mystérieuse.
Ni même ce temps où mes souvenirs
Prendront mes rides pour un sourire
Description
Chanson dont le texte met en lumière, sur un mode énumératif, la persistance du souvenir et par là même le fait que ce que l'on a vécu fait à jamais partie de nous.
Tout nu dans ma serviette qui me servait de pagne
J'avais le rouge au front et le savon à la main
Description
Chanson qui dénonce les "bordels militaires de campagne" qui existaient dans l'Armée française au vingtième siècle. Le titre a été repris au pluriel pour intituler un album hommage à Brel sorti en 2004.
Je t'inventerai une famille
Juste pour ton enterrement
Description
Chanson au rythme lent, à la mesure de l'enterrement qu'elle décrit. Brel y aborde ses thèmes les plus chers : l'amitié, la mort, la guerre, la religion, les femmes.
Et pourtant l'espoir fleurissait
Dans les rêves qui montaient aux yeux
Description
Chanson écrite en hommage au fondateur du journal L'Humanité et dans laquelle Brel laisse entrevoir ses opinions social-progressistes, pacifistes et humanistes.
Chanson qui évoque, par le biais d'un tiers assistant à la scène, la séparation déchirante d'un couple d'amants. Sans doute une des chansons les plus poignantes de Brel.
Bien sûr il y a nos défaites
Et puis la mort qui est tout au bout
Description
Chanson dans laquelle Brel dépeint le mal de vivre contemporain tout en affirmant, avec un désespoir plein d'humanité, que le plus difficile à endurer reste de voir ceux qu'on aime malheureux.
Tu sais le nom des fleurs
Tu vois que mes mains tremblent
Description
Chanson à travers laquelle Brel rend hommage à son meilleur ami, Georges Pasquier. Dans ce véritable hymne à l'amitié, il invente le magnifique verbe "frérer".