Doctrine qui affirme le primat de la liberté, l'Etat devant protéger la liberté individuelle. Dans son versant économique, cette doctrine préconise l'effacement de l'Etat au profit du marché.
Doctrine qui a pour fondement la recherche d'une organisation socio-économique plus égalitaire, correspondant notamment à la mise en commun d'une plus ou moins grande partie des moyens de production.
Doctrine qui préconise la mise en commun des moyens de production, seule façon selon ses défenseurs d'abolir l'exploitation économique et d'accéder au bonheur général. Elle fut théorisée par Marx et Engels.
Doctrine qui a pour principe fondamental un anti-autoritarisme radical (pouvant se traduire ainsi par l'objectif d'une abolition de l'Etat) et qui promeut les pratiques autogestionnaires.
Doctrine qui fait de la protection de l'environnement son premier principe, et qui pour ce faire exige notamment une régulation de l'exploitation des ressources naturelles.
Si ce courant désigne à l'origine la volonté de légitimer l'existence d'un Etat-nation pour chaque peuple, à partir de la fin du XIXe siècle, il est synonyme de l'exaltation d'une nation sous toutes ses formes.
Promoteurs illustres
Maurice Barrès, Charles Maurras
Mouvements français
Rassemblement national ; Egalité et Réconciliation
Puisant ses origines dans l'Italie de Mussolini, cette doctrine affirme l'existence d'un ordre hiérarchique naturel fondé sur un idéal de pureté nationale et raciale, elle prône l'unité de la nation autour d'un chef providentiel et d'un parti unique.
L'ensemble des mouvements qui se revendiquent de cette doctrine, sans rejeter la mondialisation, en prônent le contrôle par les citoyens dans l'optique de la rendre plus solidaire.
Le but commun à l'ensemble des mouvements se revendiquant de cette doctrine est l'abolition des inégalités homme-femme dans les différentes sphères constitutives de la société.