Le Hongrois Ányos Jedlik invente le générateur électrique, amélioré en 1871 pour générer un courant continu. Les machines ne pouvaient produire qu'un courant alternatif ; le courant continu était fourni par des piles au rendement médiocre.
Pensée par Charles Bourseul et Johann Philipp Reis puis développée plus tard par Graham Bell et Thomas Edison, cette invention permet de transmettre électriquement un son à distance.
Cette invention est utilisée dans les clôtures pour le bétail en raison de son faible coût. Elle a aussi beaucoup été exploitée sur les champs de bataille.
La machine utilise des cylindres d'étain, puis de cire, la rotation étant assurée en continu par une manivelle et régulée par un lourd volant. L'appareil est un succès commercial à l'origine de l'industrie du disque.
En 1860, on démontre que l'incandescence peut être prolongée sans détruire le filament, sous vide d'air. Le premier modèle sera muni d'un filament en fibre de coton carbonisée.
Joël Houghton a été le premier à réfléchir à ce concept et il créa une machine en bois avec une roue qu’il fallait tourner à la main, projetant ainsi de l’eau. Mais c'est une femme qui réalisa le premier modèle avec un réel nettoyage.
Un vétérinaire écossais a l'idée d'améliorer les roues du tricycle de son fils en collant une bande de caoutchouc sur les roues en bois et en insufflant de l'air entre le caoutchouc et la roue. Il crée ainsi la première chambre à air.
William Crookes fut le précurseur de cette invention, d'abord composée d'une diode à cathode froide. Cet élément a longtemps été utilisé pour la construction de divers écrans.
Actionnée manuellement par un levier, cette invention comprend alors un bras oscillant sur lequel est fixée une lame en caoutchouc qui est retirée à la belle saison.