Petit morceau de papier mince plié qu'on collait au dos d'un timbre pour le faire tenir dans un album avant 1960. Les traces laissées diminuent fortement la valeur des timbres neufs.
Feuillet comportant l'impression du timbre à partir du poinçon original non encore durci, généralement seul au centre de celui-ci. N'existant qu'en peu d'exemplaires, quelques-unes de ces épreuves sont réservées au graveur.
Impression du timbre sur un feuillet à partir d'une virole spécifique en France, sans gomme, elles sont remplacées par des blocs gommés en 1992. Distribuées à des personnalités qui les revendent souvent sur le marché philatélique.
Timbre non dentelés (en France) imprimés en feuilles dans des couleurs variées pour tester celles qui conviennent le mieux, surtout pour les émissions en taille douce.
Substance d'origine végétale ou chimique apposée au dos du timbre afin de permettre son adhérence sur le courrier après humidification ou directement pour les autoadhésifs.
Timbre issu de feuilles non perforées dans les premières émissions depuis 1840. Après l'apparition des dentelures, timbre d'émission spéciale laissé sans perforation et réservé à une personnalité.
Petit morceau de papier initialement rectangulaire qu'on découpait dans une feuille non dentelée pour payer l'expédition d'une lettre. Ils ont ensuite été vendus en feuilles perforées afin de permettre leur découpe sans ciseau.